La résilience|

La vie est belle de Roberto Benigni

La vie est belle, de Roberto Benigni
Lorsqu’il est envoyé avec son fils dans les camps de concentration, Guido transforme toute la systémique de la guerre en un véritable jeu. Dans la vidéo ci-jointe, on le voit traduire les indications des nazis allemands dans les camps de concentration en règles d’un grand jeu. Même dans le pire, Guido rend la vie de son fils ludique et amusante.

Dans « En attendant Godot », Vladimir et Estragon cherchent constamment ce qui pourrait transformer leur attente en divertissement. Malgré leur cloisonnement dans cette « ère du vide », Vladimir et Estragon sont hilarants ! Ils font de leurs chaussures un véritable jeu, de Pozzo qui ne dépose pas ses bagages un profond questionnement ou encore de leurs oublis de vraies discussions. Afin de pouvoir diminuer le temps qu’il leur reste avant de rencontrer Godot, toutes leurs rencontres, leurs pensées, et leurs sensations deviennent des objets de longues conversations et donc, de diversion. Toutes les simplicités du quotidien sont transformées en gags, en blagues. C’set la force de la pièce !

« Vladimir – Tu ne veux pas jouer ?

Estragon – Jouer à quoi ?
Vladimir – On pourrait jouer à Pozzo et Lucky. »

 

 

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En attendant Godot →